Les gens, va falloir encore attendre un peu pour le récit du week end en Alsacie, parce que j’ai pas encore trié les photos.
Pour vous faire patienter, je reprends le fil lancé dans le lac de la blogo par la mère Joie, si je ne m’abuse, qui veut savoir comment on blogue.
(La semaine dernière c’était Oum qui voulait savoir le pourquoi, maintenant le comment. M’est avis que le d’où-viens-je où vais-je et dans quelle étagère c’est pour la semaine prochaine.)
A part cette semaine où je t’ai balancé vite fait bien fait deux billets écrits à la va-vite en pleine journée, d’habitude j’écris le soir. Pas tous les soirs, ni n’importe quel soir. Le Soir avec un grand S, celui où j’ai l’inspiration qui va bien.
En général il me suffit d’avoir une idée ou juste une phrase en tête qui me vient en cours de journée. Le soir venu, je dégaine le Macbook et je ponds entre 5 et 7 billets d’affilée. De quoi alimenter mon blog toute la semaine suivante, parfois un peu plus.
Quand le soir en question je suis particulièrement en forme je peux t’alimenter un blog jusqu’à 2 semaines à raison de 4 à 5 billet par semaine (c’est mon record personnel).
Je dis “le Soir” mais il arrive aussi que ce soit le dimanche après-midi, je ne suis pas regardante sur les horaires.
Dès qu’il sont écrits je programme les dates de publication et pratiquement tous les jours jusqu’à ce qu’ils soient en ligne je les relis et je modifie un mot, une tournure de phrase, un point, une virgule…
J’écris directement sous Wordpress, ce qui me permet d’accéder à mes billets en gestation depuis n’importe quel ordi, iphone inclus, pour les relire et accessoirement rajouter ou retirer un truc qui me vient à l’esprit
Sauf cette semaine où je n’avais rien dans ma manche. Parce qu’il faut bien se contredire.