Et de trois !
Le prix Nobel 2009 en chimie vient d’être attribué au britannique Venkatraman Ramakrishnan, à l’étatsunien Thomas A. Steitz et à l’israélienne Ada E. Yonath pour leurs travaux sur la structure et la fonction du ribosome.
Le ribosome permet de traduire un ARN (acide ribonucléique) en protéine, c’est une structure essentielle de toute cellule (j’ai dit toute).
La biologie moléculaire semble être une abonnée du Nobel de chimie puisqu’elle vient encore d’être récompensée après (entre autres) la GFP l’année dernière et la transcription eucaryote en 2006.
C’est fini pour les sciences dures (cette année). Demain ce sera au tour de la littérature puis de la paix vendredi.
À demain.