Rencontrer des personnes qui sont aussi en recherche d'emploi, quelque part, cela rassure : on se rappelle que l'on n'est pas le seul dans ce cas. Si en
plus elles sont coachées dans un cabinet d'outplacement, cela fait un point commun supplémentaire : une fraternité naturelle se crée.
On développerait presque un syndrome de Stockholm envers la Crise qui nous fait connaitre tant de gens attachants que l'on n'aurait jamais rencontrés en période de prospérité !
L'outplacement crée des liens, donc. C'est une de ses fonctions clés. C'est bon pour le moral, aussi. Aujourd'hui, Luc rencontre un homme dont l'optimisme frise
l'inconscience...