![Chicken street Chicken street](http://media.paperblog.fr/i/240/2402095/chicken-street-L-1.jpeg)
d’Amanda Sthers aux éditions Grasset
(Existe en poche)
C’est Simon qui raconte l’histoire. C’est lui qui centralise tous les personnages de ce roman. A ses côtés, il y a Alfred, écrivain public, une amitié profonde mais inavouée les lie ; il y a Naéma, jeune fille afghane, prisonnière de sa burga qui pourtant a été emportée par une nuit d’amour avec Peter, un américain, journaliste, en mission à Kaboul. Peter justement qui est marié à Jenny, peut-être la plus touchante dans cette histoire, qui sombre dans la folie par désespoir.
Tous ces personnages sont liés les uns aux autres.
J’avais découvert Amanda Sthers avec son roman « Madeleine » et avec « Chicken street » je découvre une autre facette de son écriture, car entre ces deux livres le style est assez différent.
« Chicken street » est une histoire que l’on imagine tout à fait possible, car il y a des endroits sur terre où naître équivaut à entrer directement dans une prison pour ne jamais en ressortir…
4ème de couverture
A Kaboul, les deux seuls juifs d’Afghanistan, Simon le cordonnier et Alfred l’écrivain public, se détestent amicalement. Un jour, la belle Naéma supplie Alfred d’écrire en son nom à un journaliste américain, dont elle porte l’enfant… De Kaboul à New York, le destin n’épargnera personne. Entre humour et désespoir, Amanda Sthers porte un regard saisissant sur la folie des hommes.