Mon amour pour toi n’est pas un fleuve tranquille,
C’est un torrent violent et furieux,
Qui sur les rocs se brisent, se glissent, se bat contre eux,
Pour un but qui n’est pas ne serait-ce que vil.
Dans mon âme, la tienne y fait vagues,
Nous emmêlant, nous entremêlant, nous faisant,
Que nous sommes pas deux mais un seul tenant,
Les deux parties d’une seule coquille, notre doux bagne.
— Eleken