Bon, c'est parti, je commence ma thèse en Novembre. Je pars régler les détails administratifs et tout le bordel mardi à Tulle (en Corrèze ...) et je vais ensuite chercher un appart à Clermont-Ferrand.
Pendant longtemps je voulais un appart en solo mais depuis quelques jours je penche plus vers la colocation. On rencontre du monde, c'est moins cher, moins déprimant quand on arrive et si on veut quand même se la jouer solo, rien n'empêche de rester dans sa chambre.
Les appart solo ont aussi leurs avantages mais comme 90% de mes connaissances clermontoises ont quitté la ville en même temps que moi, la coloc sera un bon départ.
Enfin, si j'en trouve une quoi.
S'il y a une chose que je déteste, c'est bien les sites internet qui te font payer du vent. Un exemple totalement au hasard, les sites de colocation. Tu dois payer entre quelques euros et quelques dizaines d'euros juste pour voir les annonces ou les coordonnées des annonceurs. Incroyable !
C'est quoi le service qu'ils proposent pour 56.90€/an ? Hein ? Héberger quelques annonces non actualisées sur un site web qui bugue ? Je peux le faire moi aussi !
En plus, le site appartager, pour ne pas le citer, possède le quasi monopole sur le marché et 95% des autres sites renvoient sur lui. On est donc obliger de payer. Je l'ai déjà fait pour ma coloc à Séville et ça m'énerve.
Par contre, certain utilisateurs font preuve d'un réflexe intéressant : il est interdit de mettre dans notre annonce gratuite nos coordonnées (pour que le site fasse payer celui qui les veut), mais il y a des malins qui passent à travers le filet en indiquant leur portable sous forme de zérocisse karantuite ...
Ça, j'adore. Malheureusement, ce n'est que pour des colocs qui se libèrent en Février.
En gros je suis en train de chercher un moyen de me loger quelques semaines, en attendant que les colocs qui m'intéressent se libèrent, courant décembre pour la plupart. Et comme c'est
Voilà, c'est juste se foutre de la gueule du monde. Je vais prendre ma tente au cas où, tiens. En plus il fait pas froid en ce moment, ça va !