Magazine Journal intime

en revenant de l'expo

Publié le 18 octobre 2009 par Tilly

de Byzance à Istanbul, un port pour deux continents
Galeries nationales (Grand-Palais, Champs-Elysées) jusqu'au 25 janvier 2010

Vue du port de Constantinople - Ivan Aivazovskii (1817-1900) - Paris, musée du Louvre - (c) Photo RMN / Gérard Blot

D'abord la fin. La boutique de l'expo, judicieusement placée, évidemment.

En dehors des tourniquets de cartes postales, et des gadgets d'inspiration iznik (cependant tout est de bon goût), plusieurs tables croulent sous les piles : littérature turque, et étrangère ayant pour sujet la Turquie, histoire, livres d'art (de haute tenue culturelle, tout ça). Il y a même du Léon Bloy ! Depuis peu que je connais l'écrivain, et que je commence à le lire, je suis comme Blanche-Neige, j'en vois partout.

Je cherche en vain sur la même table que Bloy : Visage d'un turc en pleurs, de Marc-Edouard Nabe. Par acquis de conscience, je consulte avec la responsable de la boutique la liste de tous les ouvrages en vente. Nib de Nabe.
J'achète quand même l'édition de 1966 au Mercure de France des Oeuvres de Léon Bloy avec Byzance et Constantinople. Dans Visage de Turc en pleurs, il y a une analyse de l'étude de Bloy qui est elle-même un livre sur un livre : L'Epopée byzantine de Gustave Sclumberger (1906).


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