Oui, parfois je mélange les animaux. Je prends les vilains lions pour de beaux dragons et les vilains dragons pour de beaux lions.
Spécialement pour toi Patrick, je suis retournée prendre des clichés de l’entrée de la Bank of China. Et crois-moi, sortir dans la foule de Des Vœux Road fut rude car figurez-vous que je suis malade. Malheureusement. Je crache mes poumons.
Je pense que ceci est la conséquence de ma peur terrible des décollages d’avions et d’une balade en jonque où ma peau a parait-il pris toutes les couleurs possibles entre le bleu, le vert, le jaune et le blanc. Un mal de mer affreux et parfaitement embarrassant. Ollie, l’anglais de Guernesey, m’a beaucoup parlé pour me réconforter, ceci dit je ne comprenais rien à son accent si typiquement britannique. De toute façon, il buvait du Sauvignon dans des verres en plastique…Je lui ai glissé que cela se rajoutait à mon mal de mer. Il a répondu Arrogance. Ces anglais !
Lorsque je serai parfaitement remise de cette maladie de poumons, j’irai au lobby du Peninsula. Le jazz y est fameux, m’a t-on dit. Du jazz, du jazz langoureux, un boudoir feutré, des fauteuils moelleux, du vin raffiné, des verres en cristal, ah…
Publié par les diablotintines - Une Fille - Mika - Zal - uusulu
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