degré IV, CXVIII (108)
Publié le 25 octobre 2009 par Moinillon
Il arrive
quelquefois qu’un moine, ayant reçu un ordre de son supérieur, et prévoyant que
s’il l’accomplit, il lui fera de la peine, ne l’accomplit pas par ce seul
motif; comme il arrive aussi qu’un autre moine, prévoyant bien la même chose,
exécute sans hésiter les ordres qu’il a reçus, Or on demande ici quel est celui
de ces deux moines dont la conduite a été la plus sainte et la plus conforme à
l’esprit d’obéissance. saint
Jean Climaque : L'Échelle sainte
«De la
bienheureuse et toujours louable obéissance»