Les feuilles mortes
Et comme chaque automne, tombent les feuilles mortes,
Faiblesse d’un temps comme ma Sophie ce soir naissant,
Facétieuse, elle se balance telle la feuille choyant,
Elle danse, langoureuse, la musique des branches l’emporte,
Un léger bruissement, la soie de sa chemise ouverte,
Indescriptible ce changement brusque, pleine lune peut être,
Lentement s’échouent à mes pieds ses vêtements,
L’Amour sur ce tapis automnal s’étend,
Ah ! La splendeur de l’arbre dénudé,
Galbe de tes seins doux, Octobre déluré,
Eperdument cette saison influe mon ode à l’être désirée...
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Mes Amis, j'ai beaucoup de retard sur tout, visite de vos blogs, réponses à des mails, etc. Et aucune excuse valable...
Ce poème aurait du être écrit la semaine dernière pour mes chers Impromptus mais pas de volonté. Je plaide coupable pour mes absences, non pas que je vous oublie, plutôt une envie invisible.
Que votre semaine soit belle ! Merci pour vos passages, vos traces, juste ces quelques mots qui sont que plaisir !
Je vous embrasse fort !