Un institut de sondage a bossé là-dessus dernièrement. Résultat : si ça paradoxe dans nos chambrées, ça donne un petit côté sympathique à l'homo franchouillardicus du nouveau millénaire.
Rien n'étant incompatible avec rien, finalement, voici un petit topo.
Le français brasse joyeusement le désir d'autonomie et l'aspiration grandissante au collectif.
De même, il assume fierté nationale et tolérance.Le développement de revendications territoriales n’entraîne pas forcément la xénophobie.
Enfin, autre binôme : liberté privée / ordre public. Vouloir une liberté totale dans ses choix privés n’empêche pas d’exiger des règles de vie communes dans la sphère publique.
Autre constat révélé par l'étude : la distorsion entre le bruit ambiant qui émane de nos sociétés en période de crise et la réalité du paysage mental des français (joliment dit, non ?).
Traduction : y'a des fossés entre le discours dominant des politiques/médias/entreprises et la pensée individuelle. Par exemple ? La demande d’égalité primerait sur celle de liberté.
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