Ecrire des aphorismes, c'est se livrer à un "art inférieur d'esprits au souffle court, un art dont certaines gens, surtout en France, ont vécu et vivent encore, en quelque sorte des pseudo-philosophes pour tables de nuit de malades [...] dont les maximes finissent par s'étaler sur tous les murs des salles d'attente des cabinets médicaux." (Thomas Bernhard, Le naufragé).
Si au moins on voyait ces aphorismes sur les murs des salles d'attente.