... et j'arrêterai seulement quand Jungle Julia aura cessé de faire des soupes au potiron et des gâteaux à la carotte (n'importe quoi, elle).
Ou quand j'aurai trouvé un boulot.
Ou les deux.
On n'est pas rendus, en somme.
En attendant, et comme j'ai pris la bonne habitude de répondre aux commentaires, tu peux m'en laisser plein, d'insultes, de supplications, de menaces de suicide ou simplement de compliments pour me dire que tu me trouves formidable (comme tu sais que j'aime bien) (et d'ailleurs, tu as bien raison).