Car Fatma c'est moi, Fatma c'est nous, Fatma est dans chacun de vous

Je me suis adressée à toi auparavant lorsque tu as décidé d'arrêter d'écrire et j'ai sollicité le retour d'une belle plume qu'est la tienne. l'ironie du sort fait que juste un an après, je sollicite encore ton retour et non parce que tu as décidé de partir mais parce qu'on a imposé ton départ!!!
Dans mon autre post j'ai repris des mots que tu as écris:
""Nous écrivons afin de réussir à respirer un air dépourvu de dioxyde des lieux, des appellations, des gestes, des pseudos et personnes nous pourchassons dans les noirceurs de la solitude…""
Que serait l'utilité de l'écriture si on nous ligote les mains, si on nous dicte ce que les autres doivent lire, si on ne s'exprime que derrière des frontières, des barrières, si on doit tout le temps se remettre en question, si l'encre est maudit, si résonne dans nos têtes des interdits???
Écrire pour respirer et on veut t'empêcher de respirer, de vivre.

Free Fatma