40 jours pour la vie : La responsable du centre de planning familial où tout à commencé s’est converti et a démissionné !

Publié le 10 novembre 2009 par Thunderstorm


Le directeur de la campagne de 40 jours avec l’ex-directrice du planning familial où tout à commencé en 2004

Les médias américains commentent très largement ce que les mouvements “pro-vie” qualifient de véritable miracle: la conversion à Jésus-Christ et à la défense de la vie de la responsable du centre de planning familial de Bryan, au Texas, où la première campagne de 40 jours de jeûne et prière pour la vie des enfants à naître s’est tenue en 2004.

“Cette merveilleuse conversion démontre l’importance capitale de la prière pacifique devant les lieux où l’on pratique l’avortement”, rapporte David Bereit, directeur de la campagne nationale de 40 jours pour la vie. “Depuis 2004, nous prions pour Abby et tous ceux qui travaillent dans l’industrie de l’avortement. Dans son cas, nos prières ont été entendues. Nous sommes vraiment fiers du courage d’Abby qui a quitté cette sinistre industrie et publiquement partagé les raisons de son départ.”

Abby Johnson raconte: “Je suis partie en bons termes avec tous. Mais durant les derniers mois, j’ai tout simplement changé d’opinion sur les implications et l’impact financier de l’avortement. J’ai atteint un point de non retour un certain jour, lorsque pendant un avortement, j’ai entendu les bruits du bébé à l’ultrason.”

Après son départ, le planning familial a déposé une plainte contre ces veilles de prière qui durent depuis 5 ans devant leurs locaux. La cour du Texas rendra son verdict le 10 novembre. Lancée le 23 septembre, la campagne 2009 des 40 jours pour la vie s’est achevée le 1er novembre. 573 bébés à naître ont ainsi été sauvés in extremis de l’avortement.

Ci-dessus, des “déchets humains” de 12 semaines trouvés dans la poubelle d’une clinique. L’avortement est le meurtre d’un être humain parfaitement formé et qui, contrairement aux idées communément répandues dans les nations matérialistes, ressent la douleur lorsqu’on l’assassine dans une clinique…