Il y a un an et demi, on m'a fait des misères... en haut, à gauche.
Mais des misères qui m'ont sauvée d'une méga galère, voire d'une disparition fulgurante et prématurée (pour plus d'infos, vous pouvez vous plonger dans le dossier "Vincent, Paul, François et les autres").
Aujourd'hui est arrivé le temps de la réparation... ou de la reconstruction comme disent les pros.
Au vieux briscard, spécialiste de la pose d'implants classiques, j'ai préféré le jeune artiste qui va prendre son temps et peaufiner son oeuvre jusqu'à ce que j'en sois satisfaite.
Tout à l'heure, je rentre à l'hôpital pour la première phase : la pose d'une prothèse d'expansion. Je mentirais si je vous disais que je suis réjouie à la perspective de devoir cohabiter quelques jours avec une fan de Pernaud et de Cauet, de manger des plats spongieux et sans saveur, de prendre des douches à la bétadine et d'être handicapée du côté gauche pendant quelques semaines, mais quand il faut...
Bref, tout ça pour dire que je vais être absente quelques jours.
Je vous raconterai.
Ou pas.