Magazine Journal intime

2012... c'est un peu du déjà vu quand même !

Publié le 12 novembre 2009 par Unefillealyon

- Un jeune scientifique brillant qui vient de percuter sur un truc hyper graaaaave qui va mettre le monde en danger (le gars, tout le temps il bosse tout seul et tout le temps "il-faut-absolument-prévenir-le-président !").
- Un président qui est toujours plein de bons sentiments patriotiques : "il faut sauver les citoyens avant tout !", la main sur le coeur, en regardant le drapeau itou... ("Ameeeeeeerica, ameeeeerica !").
- Un anti-héros. Il est moche mais on y devine un bon potentiel de sexytude (il se laisse aller). Il s'est fait larguer par sa femme mais on devine qu'ils s'aiment encore (gnagnagnagnagna). Il a des gamins en pleine crise d'ado qui le détestent (faites des gosses...) mais on devine qu'il y a moyen qu'is se réconcilient (pour avoir un scooter)...
- Une ou même deux histoires d'amour en suspens : le scientifique et la secrétaire d'état aux marées basses, drôlement bonnasse ; l'anti-héros et son ancienne femme ; le président et sa stagiaire...
- Un russe vraiment méchant (a-t-on déjà vu un gentil russe dans un film américain ?). 
- Une russe, un peu biatch (toutes des pu*** ces filles de l'Est...) pour aller avec le méchant.
- Un méchant américain qui pense qu'à ses sous (on dénonce le capitalisme par la même occasion...).
- Plein des effets spéciaux.
- Des personnages qui font des trucs que jamais t'oserais faire en vrai (rayez les mentions inutiles : piloter un avion, conduire une soucoupe volante, fabriquer un sous-marin, réussir les cannelés...).
- Un chien (si, si, j'te jure, regarde bien tous les films-catastrophes américains, y'a toujours un chien !).
Et vous obtenez...
Tadaaaaaaaaaaaaa :
2012... c'est un peu du déjà vu quand même !
Ah si, y'a 2 ou 3 trucs qui changent : le président il est noir, le scientifique il est noir (et même pas il meurt en premier en plus). Bon, par contre, le scientifique noir, il tombe amoureux d'une noire... faut pas déconner quand même !
Voilà, c'était 2012.
Un bon divertissement mais avec un bon p'tit goût de déjà-vu...


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