degré IV, CXXXVIII (125)

Publié le 14 novembre 2009 par Moinillon

On peut dire qu’étant d’abord aveugle, il a recouvré la vue qui nous montre Jésus-Christ, celui qui, reconnaissant enfin qu’il est trop faible pour mener une vie érémitique, sort de la solitude pour entrer dans un monastère, s’y consacrer et s’y livrer tout entier aux salutaires exercices de l’obéissance. saint Jean Climaque : L'Échelle sainte
«De la bienheureuse et toujours louable obéissance»