On avance, on continue, on regarde devant. Les plans, les choix à faire, se projeter dans l’avenir. Cet appart’ à aménager, ces travaux, tout ça nous oblige à nous interroger, et c’est assez passionnant même si très chronophage !
En même temps, on vient de se faire lâcher sur un projet passionnant. Les partenaires, des amis, quittent la table, et on n’a même pas vraiment compris pourquoi. Très bizarre comme sensation, l’impression d’être un gamin qui se serait fait prendre en train de piquer dans un magasin alors qu’au contraire on pensait bien faire ! “L’enfer est pavé de bonnes intentions“, disait P. en m’envoyant une claque virtuelle ! Ce dicton me hante et je ne suis toujours pas sûre de bien le comprendre. Je crois qu’une nouvelle fois, mes bonnes intentions me sont revenues en plain dans la gueule sans prévenir…
© Giacometti / Fondation Maeght
Allez, ce n’est pas grave, on continue, on y croit encore plus, on marche, “en avant, calme et droit“…