S’il n’y a
Le vécu
Le quotidien
Le senti
Le Respiré
Et le bien vu
Il y a aussi
L’idéal
Le combat
Le sacrifice
L’assumé
Et le bien consenti
Mais les soirs
S’il vente fort
Dans les cœurs
Se morfonde
Et crie sa douleur
…Ça retient ses pleurs