Lundi 24 mars 2008
Je reprends ma plume après un mois de néant, celui qui vous remplit de rien et vous propulse avec l’énergie du vide vers l’incertitude. C’est pâques, j’entame une résurrection sans passion, je lèche le cul d’une poule en chocolat, pur beurre de cacao, garanti sans MST.
Toute la journée la pluie ruissèle sur mon regard vaporeux. J’ai la tête dans les nuages et je rêve de grandes étendues océaniques dont je ne verrais pas la fin; une mer d’offrandes et de prières où les larmes sont des gouttes d’eau.
Le cœur serré, j'embrasse mon avenir Nicolas, je profite de ta profonde léthargie pour prendre le large, au loin, à l’aise.