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Quand je trime, eux ils glandent

Publié le 30 septembre 2009 par Gilles Poirier
La chaleur est moindre, soit disant, que ce qu'elle était en plein mois de juillet et août. C'est vrai qu'il ne fait maintenant plus que 40°C à l'ombre au maximum de la journée et que comparé aux 57°C affichés en été, c'est nettement plus frais. Mais c'est relatif, et comme je n'étais pas là en pleine canicule, je ne peux pas voir la différence, mais je peux dire qu'il fait chaud. Surtout quand on travaille en plein soleil dans la combinaison anti-feu obligatoire. Bon, je ne vais pas faire mon pleureur non plus, surtout qu'en ce moment, je suis en stand-by attendant que les autres soient prêts pour démarrer, donc je reste beaucoup dans le bureau climatisé. C'est vrai que mon boulot c'est pas mal de stand-by quand j'y pense. Les journées sont longues avec les 12h par jour, mais elles semblent encore deux fois plus longues quand on doit attendre. Ou que j'aille, c'est la même chose, on alterne entre les périodes ou il faut speeder et ou l'on n'arrête pas de la journée avec des périodes ou l'on ne fait plus rien. Il n'y a pas de juste milieu. C'est vrai que ces moments d'arrêts correspondent la plupart du temps à des périodes de pleine activités d'autre corps de métier et que quand je trime, eux ils glandent.

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