Comme vous le savez, je me suis lancée dans l’ouverture de mon propre atelier de couture “Couture et Créations Calédonienne” et la tâche devient rude. Je dois livrer d’ici le 7 décembre et impérativement une cinquantaine de petites robes en taille deux ans. Je suis donc sous pression et je déteste ça !
Pour arriver à ce nombre, il faudrait que je puisse en faire trois par jour et je n’arrive pas à ce chiffre malgré toute ma bonne volonté. Toujours des imprévus viennent me faire perdre du temps et j’enrage parfois après mes deux machines qui ont du mal à suivre.
Hier, c’est ma surjeteuse qui faisait des siennes. Un ressort de tension a cédé et elle est hors d’usage. Il va falloir que j’attende lundi pour l’emmener à réparer, en espérant que SOS machines à coudre (l’endroit où je l’ai acheté) le fasse rapidement. En attendant, j’avance avec ma machine plate mais il va falloir que je rattrape tout le travail du surfilage.
Vais-je baisser les bras devant les premières difficultés ?
Non, rassurez-vous, je m’accroche, mais il ne vaut mieux pas que je réfléchisse au but final, sinon …
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