Magazine Journal intime

Comment se débarrasser d'un vampire amoureux - Beth Fantaskey

Publié le 22 novembre 2009 par Anaïs Valente

« Le dimanche, on lit au lit ».

Je suis allée me balader en ville hier, notamment dans les librairies.  Et j'ai pu voir à quelle point l'opportunisme « surfons sur la vague vampire » bat son plein.  Dingue.  Des livres de tous formats, de toutes couleurs, de tous types.  De la romance, mais également des guides pratiques.  Des guides pratiques !  Je n'ai pas investigué, mais comment peut-on écrire un guide pratique sur les vampires ?  Sérieusement ?  « Comment devenir un vampire végétarien en dix leçons sans peine », « Comment séduire un vampire sans se faire mordre », « Comment rencontrer un vampire de type Edward et s'en faire aimer ».  Chais pas, mais ça me fait rire...

Quoi qu'il en soit, le phénomène est inévitable, donc j'ai décidé de ne pas l'éviter.

Et après ma cuisante déception lors du visionnage de Twilight tentation ce mercredi, je me suis consolée en me plongeant dans la lecture de « Comment se débarrasser d'un vampire amoureux ». 

J'étais malgré tout un peu sceptique (pas comme la fosse, ah ah ah), craignant à la fois une histoire niaise et un copier-coller de Twilight.

Et bien j'ai le plaisir de vous dire : que nenni.

Ce livre est une totale réussite.  A part le thème « vampire », rien à voir avec Twilight, mais captivant dans son genre, soit la chick lit version émotion, nappé d'un peu de sang, of course.

Le pitch : Jessica a été adoptée en Roumanie peu après sa naissance, dans des conditions dont elle ignore presque tout.  Elle entre en terminale et se veut être une adolescente normale.  C'est compter sans l'arriver de Lucius, qui débarque de Roumanie avec la ferme intention de la séduire, puis de l'épouser, comme l'ont prévu leurs ancêtres à leur naissance.  Des ancêtres vampires... tout comme eux.  Jessica ne croit absolument pas à cette version de son passé, et décide d'ignorer totalement Lucius.  Mais jusqu'à quand ?

Dès la première phrase, ce roman donne envie d'en savoir plus.  Il fait beaucoup rire.  Mais il touche également.  Bien sûr, le côté « vampire » est présent, mais pas gênant, même pour celles qui craignent l'hémoglobine, il sert surtout de prétexte à asseoir une histoire bien ficelée et captivante du début à la fin.

A lire, croyez-moi !

vampireamoureux



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