Une portière farceuse…

Publié le 30 novembre 2009 par Wawaa

Après le téléphone portable farceur, je vous présente la portière de voiture farceuse. Chez moi tout est farceur et je me sens parfois un peu comme le dindon de la farce !


Mon chéri et moi voulions aller nous promener. Jusque là rien de bien extraordinaire. Nous avons donc rejoint ma voiture. Rien d’exceptionnel. J’ai sorti les clés de mon sac. Rien de formidable. J’ai ouvert ma porte, je suis montée et de l’intérieur j’ai voulu ouvrir la porte passager. Je chope donc le loquet entre mon pouce et mon index et je tire. Je tire, je tire et je tire. Je tire en poussant des cris de guerre. MAIS C’EST QUOI CE BORDEL ? LA PORTE EST COINCEE ?


Je sors de la voiture munie de ma clé et j’essaie d’ouvrir la portière avec. Je tourne, je tourne mais ça veut pas tourner dans le trou ! C’est bouché ou quoi ? Bref. Portière pas ouvrable. Le chéri donc, devait me passer dessus…euh enfin passer par la porte conducteur, enjamber mon siège pour rejoindre le siège passager. Il a pu ainsi me prouver qu’il était souple. Sauf que le chéri mesure rien qu’un mètre 83. Dans ma petite 205… c’est pas évident de se contorsionner.


On a fait avec et puis on s’est vite habitué à entrer tous les deux par la même porte, c’était romantique !


Deux jours plus tard, j’ai pris la voiture de mes parents (ben oui c’était pendant la fameuse semaine avec le chéri, dans un châlet) parce qu’ils me l’ont proposé et j’ai laissé la voiture à mon père. A mon retour de pseudo-vacances c’était toujours coincé.

Et puis quelques jours plus tard, sans qu’on sache pourquoi, madame Titine 2  a décidé soudainement de libérer sa porte passager. Comme ça, paf ! Un caprice ! Une blague ! Une farce ! Elle devait bien se marrer à nous voir nous contorsionner.

Mais elle devrait se méfier, encore une blague du genre et je l’amène à la fourrière et je la transforme en cube, je la peins, je dis que c’est une œuvre d’art et je la vends et je me fais des couilles en or ! Elle fera moins la maligne exposée dans un musée d’art moderne devant les gens qui la regarderont en disant qu’elle est ridicule.