Epreuves et relativisation.

Publié le 14 juin 2007 par Everlastingdts
Drôle. Drôle douloureux, un peu étrange. Comme la vie. Un flot immense qui monte sous la pression qui fait des bulles, et puis la chute, comme ça. Sans raison ? Un parapluie tout plein de trous sous un marteau en mousse. Marteau qui tape, rebondit. Frappe et s'alourdie. C'est un grand miroir inutile, la vie. Miroir douloureux, un peu étrange. J'y ai versé des cruches sans fond et l'eau n'est pas revenue.
Alors peut être qu'elle n'a jamais grandi, la vie. Je crois entendre son rire, la nuit. Elle jette les brindilles de son jardin bleu sur le chemin. Ce ne sont pas des haies, ce sont des marches qui s'accumulent et descendent seuls pour ceux qui sentent dessus dessous. Parce que bien souvent, il est difficile d'y croire. Une raison ?
Tout cela n'est pas plus qu'un jeu de conséquences. Sans vérité. Personne n'a jamais demandé à Jean de se confesser. Les règles sont simples : il faut jouer. Celui qui sort éteint sa lumière, celui qui perd ouvre la fenêtre verte qui donne sur la route et ses choix. L'acier est un composant essentiel de l'esprit. Option facultative qui joue aux dés.
La raison ? Regardez dans les chiffres. Un quatre et un six. Parce que la vie est faite de doubles.