J'enfreins de l'offrande l'implicite excuse
J'aligne les chandelles pour dessiner l'écluse, Ah !
L'épure à peine exclue de mon exquise armada, Eh !
Qu'esquissent les échelles du mont du moins "Je crois que toi"
Je vis à tord, You Go ; je tords l'auteur, le brigand accomplissant
La canaille capable ! elle de fou rire ! Quand je la vois
Triste mime de la déesse, pauvre Elle hier dans un couvent
Marin en coupe-vent, sans croix, la voix portant jusqu'au Groix
De la tête aux brisants, de l'île à la paume écorchée de "Sans toi"
Mais est-ce moi ? laissez-moi déplier l'étroite embouchée
Mes dents et j'ai dansé comme ça Cent fois sans répéter
Sans dégeler le caverneux sans idée, ce vieux maladroit
Pas un pas ! que dit la sibylle à... Qui déjà ?
Quand mon maître lui si assidu à la Cité
Comparaît à trahir la raison ! Coupable dis-tu Assassin !
Boit la ciguë au-dessus pour deux sous !
Mais criez aussi, Battez la foule ; comment rompre sans violence
Comme Je l'effet d'un doute, Comme j'étais en route pour le silence
Je change, je confonds, je mélange, je supplie presque à terre
A la presqu'île encerclée atterré par le haut-fond !
Mais je m'amuse ! Je sautille de ma palinodie
Triste ! et si par hasard elle est audible
Car je n'ai que dix doigts pour pallier à ma voix
Enrouée de coups de fumée, d'exploits !
Ah ! car il fallait l'avouer, le dire une fois seule
Je ne mens pas, je m'enfuis, je réitère quitte à déjouer mes plans
Démérités encore que je ploie, sous les nuits en lutte
Pauvre je suis si jamais le fruit me goûte
Inépuisablement fatigué par l'épreuve du couchant...
Pour élever de peu la langue éparpillée...
Je m'endors, paresse et m'indiffère de temps en temps...
Et retrouver, non de sagesse, la lettre que j'aimais envoyer.
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