7 semaines aujourd'hui que nous sommes embarqués sur les rails des montagnes russes qui nous contraingnent à vivre au jour le jour sans jamais nous laisser le pouvoir, même minime, d'agir.
Ce sentiment d'impuissance est sans nul doute l'un des plus difficile à encaisser, il peut parfois même nous mener à la lâcheté. Vous savez, ce souhait que l'on a, peut-être déjà tous eu au moins une fois dans notre vie qui est, de s'endormir et de ne se réveiller que lorsque ce calvaire serait terminé.
Mais l'être humain est indégnablement bien fait, car très vite il se relève et continu la course avec la volonté certaine, de ne plus laisser place au doute tant sa confiance en l'être blessé et en bien d'autres éléments plus ou moins célestes, est grande.
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A l'école, la course d'endurance c'était pas pour moi, j'étais comme le disait mon professeur de Cm2, une sprinteuse (Ouais) (bon).
Maintenant, je cours moins vite, je m'économise parce que la course sera longue mais largement moins rude pour moi que pour lui.
Lui ? il court aussi, mais avec un menhir sur le dos.
Il ne s'appelle pas Obélix mais il pourrait.
Avez-vous déjà vu Obélix fléchir ? ...la résponse est NON