Avant de manquer d’air, je voudrais te fumer.
Tu me «main-forte», me réconfortes.
Oh ! Ma chérie, collée contre mes lèvres,
Toi tu me «fièvre» et moi je te «sèvre».
Chaque jour passé avec toi est si plaisant.
Sans toi, j’ai peur de m’ennuyer.
Et si je suis en colère,
Qui d’autre que toi pour m’apaiser ?
Oui, ton feu soulage ma rage
Quand il me «nicotine» les poumons.
Mais tranquillement, il faut que je me le dise,
Pendant que j’éparpille tes cendres, toi tu me «cendres».