La bataille est perdue pas la guerre.

- "Soldats ! Au rapport et vite !"

- "On a fait ce qu'on a pu chef, mais elles étaient trop nombreuses."

- "Au début on a géré. Une écartée, l'autre esquivée, hop hop."

- "On en a beaucoup paré."

- "C'est bien vrai."

- "Et puis il y a eu l'infiltration. La faille. D'abord à droite. On l'a colmatée et absorbée mais ... "

- "On a été attaqué sur le front gauche. C'était plus compliqué mais ça pouvait encore aller. Les gars commençaient à flancher."

- "Puis ça s'est propagé. Partout."

- "Impossible de faire face. On a tout tenté, mais on a capitulé."

- "On s'excuse chef."



Compte-rendu de la discussion entre ma paire de gants polaire (plus si polaire) et moi-même, lundi 30 novembre 2009.



Qu'est-ce que ce charabia veut dire ? Eh bien, mes braves lecteurs/trices, lundi nous sommes partis en scooter sous une pluie torentielle (traduisez par "Déluge") et même si j'étais équipée, j'ai fini par arrivée au boulot trempée. Peu en a ensuite fallu pour attraper la crève (comprenez fièvre, nez qui coule, éternuements, toux et autre réjouissances) qui m'a mise KO et m'a même rendue aphone.
Du coup, point de message, point d'inspiration, point de tenue du samedi avec le nez rouge, le atchoum et la tête de déterrée (remerciez-moi pour vous avoir épargné).

Mais, car oui il y a un mais, je ne suis pas restée totalement inactive puisque je vous informe que bientôt je quitterais Over-blog et passerais sur mon propre domaine. Le blog sera disponible sous une nouvelle adresse rien qu'à moi (et toc).

Je suis entrain d'installer Wordrpress (et évidemment ça déconne, sinon c'est pas rigolo). Au passage, si y'en a qui peuvent m'éclairer sur les Syntax Error que celui-ci me pond (et qui m'empêche du coup d'accéder à mon interface) je suis toute ouïe.

Sur ce, je file dans ma couverture (ça va mieux mais pas totalement) et vous donne rendez-vous ici très vite.