une fraise et Albertine

Une fraise à la saint Romaric ? Merci le réchauffement climatique.

* écouté l’humeur vagabonde de Kathleen Evin évoquant histoire et mémoire puis Albertine Sarrazin ; je m’étonne qu’aucune maison d’édition ne publie Albertine Sarrazin que je vous invite à découvrir chez votre bouquiniste, bibliothècaire et/ou au théâtre des Déchargeurs à Paris jusqu’au 19 décembre avec la comédienne Mona Heftre et la metteur en scène Manon Savary (lire la critique des Trois Coups).
* une fois dans ma vie, j’aurai dit et écrit « j’ai les huissiers au cul. »
* vu Le Vilain d’Albert Dupontel (drôlement méchant), Les Herbes Folles d’Alain Resnais (« tout ça pour ça » commentait à la sortie mon amie Françoise), Walter Retour en Résistance (documentaire utile par les temps qui courent), Katia et le Crocodile (délicieux film tchèque de Véra Simkova et Jan Kucera, 1966)
* récolté fraises & framboises sur ma propriété de Farmville.
* ajouté les mots "chafouin", "tire-au-flanc", "tautologie" et "atermoiements" à ma collection de mots.
* feuilleté le dernier Muze. Dernier au sens littéral du terme puisque le magazine ferme boutique. Triste fermeture d’une fenêtre éclectique sur la culture.
* tourné la page, tourné en rond, tourné les pouces, viré chèvre.
* écrit à SL, journaliste fâché avec le français : « il serait bon de se relire ou de passer sa copie à un camarade avant de la publier. » (article)
* me réjouis chaque fois qu’un internaute cherche « banque Accord » et tombe sur mon billet d’humeur « banque Accord, si tu signes t’es mort ».
* souri à la requête d'un autre passant : « à quoi sert des carottes pour un homme seul? ».
* trouvé une utilité au journal l'Equipe (voir photo)
* vais me promener dans les bois.