Un philosophe de mes amis m'a écrit il y a peu que les blessures d'amour propre ne sont jamais aussi graves que celle de l'estime de soi, que ce sont celles-là qui font le plus mal et qu'il faut les soigner, absolument.
Alors :- Allo Maman bobo !
ou bien :
- Never explain, never complain!
J'avoue, j'hésite. D'autant que le temps passant, les maux s'effaçant doucement, je finis par douter et me demander si je n'ai pas exagéré le traumatisme, si même ce n'était pas une forme d'automutilation, de recherche masochiste d'une douleur exquise.