Mon mari, l’Homme de la maisonnée, celui qui m’aide pour tout a désormais des problèmes de dos. Et aujourd’hui, le rhumato lui annonce qu’il devra porter un corset rigide, éviter les déplacements en voiture, porter des choses lourdes…
Sauf que ce cher docteur ne sait pas que je suis rouillée, percluse d’arthrose, et que ma force musculaire fait pâlir de jalousie un légume.
Là, les questions ménagères se bousculent : qui va porter le bois ? Et les courses ? Et le ménage ?
Si j‘étais un brin pessimiste, je dirais que le sort s’acharne même à l’approche de Noël … Mais je reste positive.
De toute façon, c’est une journée où tout va de travers. Depuis plus de dix jours, je suis sur un texte : j’écris, je barre, je rature… mécontente de mon style, de mes tournures de phrases ! Ce matin, je m’y suis remise et rien, nada ! Je n’ai pas avancé d’un iota…
Vous vous demandez ce que peut être ce texte. Ah bien, c’est un des premiers écrits qui n’est pas pour mon blog. Car j’ai pris une grande décision : celle de me lancer à l’eau ou plutôt de partir à la recherche d’une maison d’édition.