J'avais vu Copenhague, bonne pièce de théâtre de l'anglais Michael Frayn, il y a quelques années à Montparnasse. Ces jours-ci j'y repensais, allez savoir pourquoi...
Ce matin je lis un billet qui fait un point très net sur les résultats de Copenhague 2009.
Contrairement à Niels Bohr et Heisenberg, l'auteur a peu d'incertitude.
Les perspectives stratégiques du bilan du sommet climatique raté lui apparaissent clairement...