Il y en a qui ne se lasse pas de jeter du discrédit sur l’accueil fait par tout un chacun à l’arrivée de la nouvelle année. Le retour en force du spirituel dans des quotidiens de plus en plus miséreux n’a pas eu raison du traditionnel gâteau ramené à la maison en chaque fin de la dernière journée. Cette date célébrée par les douceurs semble être la seule à ne pas être frappée du sceau du religieux, du moins sous ces cieux. Ce ci dit, et pour mon cas, je continu de m’emmerder à mourir en ces funestes derniers moments…