Il, dans son commentaire de ma précédante note m’a soufflée!…
Voir dans mon sein en fleur l’Ophélie de Millais…ne m’est pas du tout étranger…
Et même plus, il m’est revenu il y a peu, qu’en écrivant il y a quelques années maintenant “Sous le Flot” (écoutable ici ou ici ), l’image d’Ophélie trainait autour de moi.
La Ophélie d’Hamlet, les cheveux lâchés, dans sa douleur folle.
Elle m’émeut cette Ophélie, autant que l’étude d’Hamlet m’avait ébranlée, du temps de ma licence d’anglais.
J’associe ces jours-là à des moments passés autour de la Sorbonne avec un jeune homme qui m’attirait.
Qu’a-t-il pu devenir ce beau jeune homme tendre qui aimait princesse Mononoké, aimait lire, et me parlait de mon léger strabisme divergent comme un poète psychanalyste lacanien… mais dont je savais peu de choses.
Hop hop 2 mots lancés sur le net, et je tombe 10 ans après sur un artiste plastique, photographe ET musicien.
Et puis, comme la jolie boucle se boucle, parmi ses travaux, ceci:
Le corps, impression numérique, 2006, Vivien Racault
L’image est piquée sans prendre contact avec l’auteur, ce n’est pas bien, et si un jour il venait à atterrir ici…j’espère qu’il voudra bien m’en excuser…
PS: Au fait, question chansons, on prépare en ce moment l’enregistrement d’un petit CD d’au moins 5 titres pour le printemps: Lison du Diable, Sous le flot, et au moins 3 autres nouveautés…