"M. Degas nous dénude [...] la viande bouffie, pâteuse et moderne de la femelle publique." (Henry Fèvre).
Je ne sais pas qui est ce Monsieur, mais sur la base de cette seule citation - très mal trouvée par l'éditeur du joli petit livre Carnets érotique - j'estime que c'est un sinistre crétin. Il n'a rien compris à la justesse du coup de crayon de Degas qui ne dénude pas la chair, précisément, mais qui la rend à sa plus belle humanité