Aphorismes

Publié le 10 janvier 2010 par Lephauste

Le problème avec Dieu, c'est qu'il est seul, et vous et moi savons que seul, on finit toujours par faire des conneries.

Du papyrus au moteur au propergol vous y voyez de l'évolution vous ? J'y vois moi une succession de déclins inquiétants.

Je ne pèse plus guère que le poids de mes écorces, avec au coeur il est vrai, la promesse d'un arbre à venir.

Il finit par porter ses burnes comme un fardeau las.

Porte-en-croix, tant que croix te porte, porte en toi la croisée des chemins.

Illes succombaient  de lui en Elle et de l'autre qui ne venait pas pourtant étayer leur nuits blanches d'autre sensation que le plus loin des lointains. Il et Elle et lui Elle.

Vous viendrez quand je ne saurais plus si j'ai le temps de faire autrement, alors je cesserais de faire n'importe quoi de mes dix doigts.

Tenez ! Si je vous écrivais un poème ? Oh oui ! Pendant ce temps là j'irais faire les courses ! Ce que c'est bon le bonheur!

D'un chateau de conte de fées il fit don à la ruine saillante d'une molaire en creux, et tous l'aimaient.

De toutes les manières, c'est même pas ça un aphorisme, je te dis...

Oh moi vous savez !?