6h : Devant la télé stupide, pour oublier un peu mes ovaires paresseux et ma fertilité peut-être déjà toute partie en fumée. 6h45 : Encore devant la télé stupide, mais maintenant avec un chocolat chaud pour contrer le froid de janvier. 7h : toujours devant la télé stupide, je veux de l’espoir qui colle à la peau, celui que le froid de l’hiver ne viendra pas balayer. 8h10 : Les lignes de ma main retracent-t-elles tout mon chemin parcouru ? Suis-je à me demander. Pour ce grand questionnement des plus insignifiants, mettre au banc des accusés la télé stupide… et peut-être bien aussi ma tête de linottes !