Graphisme, part 1 : quand tout n’est pas que facilité…

D’habitude, je ne lis pas la presse féminine. L’éternel recommencement et le décorticage des tendances ne m’intéressent que moyennement. Que voulez-vous, je suis la mauvaise élève de la mode. Une élève quand même…

Mais ce mois-ci, j’ai eu envie de me détendre, comme au bon vieux temps des vacances où l’on s’échangeait nos magazines sur la plage. Des vacances à domicile, sous ma couette, que je n’ai pas assez vue ces derniers mois. Qu’il est bon de buller…

Pour la petite histoire, Cosmopolitain, Grazia et Psychologies Magazine auront retenus mon attention. Allez savoir, pourquoi cette sélection ?!

Mais parlons ici de Cosmopolitain et de ce titre accrocheur pour la chef de projet en reconversion, momentanément vendeuse dans le luxe, et qui s’accroche à ses rêves bec et ongles… La dualité de ce que je ressens à la lecture de ces quelques lignes me rassure sur ma motivation toujours bien présente de devenir infographiste, et m’irrite devant la facilité de changement de vie pour certains. Celle la même qu’on m’a refusé et que j’endure en souriant.

Si tout va bien, en février je serai libre de m’accrocher aux instances chômesques afin monter un dossier pour prétendre à la formation technique qui me manque crucialement. Bidouiller serait seulement un vieux souvenir…

J’ai assisté à toutes les réunions des écoles de Lyon et des environs et je me sens perdue face à un discours tout ce qu’il y a de plus similaire. Quelle formation serait la plus reconnue par le milieu de la création ? Combien de temps dois-je me former pour que cela soit pertinent ?

Alors si vous aussi vous avez été concernés par la question, je suis preneuse de votre expérience, de vos conseils pour y parvenir…  A votre bon coeur !

Votre dévouée fée papillon qui a envie de rêver que tout est possible pour elle aussi.