Hier soir, j’étais vraiment bourré, grâce à l’AU-TO-NO-MIE des universités, je reviendrai sur cet épisode mémorable de ripaille. L’ivresse désinhibant, j’ai fait une déclaration d’amour à peine voilée à une femme qui hante mes pensées depuis le Nouvel An, avec qui le courant passait si bien. Ce qui me fait rire, c’est que je l’ai fait sur internet. Il a donc fallu que j’allume l’ordinateur, entre sans fautes mes identifiants, puis que j’ai le courage d’envoyer un courriel via Facebook !
Problème : elle sait que j’étais bourré, et elle ne m’a pas répondu. Ce qui me fait cogiter, en plus d’une demie-gêne. Il va falloir raccommoder, mais je me demande bien quoi. En fait, je n’ai pas vraiment honte, et puis il n’y a pas de honte à exprimer ses sentiments. Non, en fait, ce qui me surprend, c’est que j’ai eu l’audace de le faire… Je deviens audacieux, et ça me plait bien.