Les larmes me tentent quand je me rappelle. Elles ne seraient pas d’allégresse, ni de colère. D’ennui, peut-être un tantinet. Pas que je ressens encore un sentiment amoureux pour toi, après tout tu n’es plus le même aujourd’hui. D’ailleurs, à ton réveil après une longue inertie pour je ne sais où (tu ne le sais sûrement pas toi-même), t’étais mort plus qu’à moitié pour moi. Puis pour toi, je n’étais jamais née. Tu ne savais plus qui j’étais et ce que je venais faire dans ta vie. À propos, que venais-je faire dedans ? Ça, je ne le saurai jamais...