Lu dans le cadre du Défi SF, catégorie "post-apocalyptique"
Déjà, l'illustration de couverture me plaisait bien. Et puis l'histoire est attirante:
Pour échapper au Grand Nuage qui a anéanti la vie sur terre, les hommes ont construit Babel, cité verticale close et hiérarchisée. Liram vit chez les Aériens à son sommet. Sa vie bascule quand ses parents sont assassinés et qu'il doit fuir vers les étages inférieurs. Il découvre alors qu'il porte un tatouage mystérieux, lié au destin de Babel et qu'il doit trouver les quatre autres adolescents qui comme lui, sont dotés de pouvoirs. Ils sont les Clefs, symboles de l'avenir de Babel et de sa délivrance. Mais la descente des étages s'apparente à une descente aux enfers et chaque strate cache son lot de rencontres dangeureuses...
>J'ai passé un très bon moment à descendre les étages, je trouve l'idée directrice très belle, mais j'ai été quand même déçue par le manque de profondeur du texte. On a l'impression que le roman est accéléré, le dénouement est évident, facile et attendu. L'histoire aurait mérité d'être davantage creusée, surtout que les décors et personnages étaient bien posés. Manque de temps, de place ou d'ambition? Je reste un peu sur ma faim..maintenant j'attends de voir la réception des jeunes lecteurs. Mon reproche sera peut être une qualité pour eux...
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Ce livre m'a fait penser à un autre beau roman de SF jeunesse organisé selon les mêmes codes; La citadelle du vertige, d'Alain Grousset