Dieu soit loué, le "Dieu" Internet est tout puissant. Il y a, j'en suis intimement persuadé, une multitude de choses qui ne pourraient plus se faire aujourd'hui, telles qu'elles se pratiquaient à l'aise et décontracté, dans les années 60/70.
Des attitudes politiques comme les mises en place des cours des miracles et autres officines de meurtre légales qu'étaient la CIA, la DINA, la STASI, les agences GLADIO, CONDOR, SAC, loge P2, etc. des gouvernements étasuniens, des dictatures d'Amérique du Sud, du Vatican et d'ailleurs.
L'Etat n'a plus le monopole du "Big Brother". Le citoyen, lambda, qu'il soit lapon, javanais ou chinois balance tout sur Internet à la vitesse de l'éclair. Internet est bien un contre pouvoir. Ouf !
Par contre sur le plan des moeurs, quand on voit la foudre qui s'abat ipso facto dans un certain bureau ovale pour un malheureux cigare, ou sur les oreilles de celui qui était un petit garçon, qui voulait jouer à touche pipi à l'époque et qui est aujourd'hui coincé dans un chalet en Suisse, risquant bientôt de se retrouver jusqu'à la fin de ses jours - oui, oui - dans une geôle californienne. On peut rester bien dubitatif quant à cette non évolution. Ce carcan des bonnes moeurs toujours présent.
Il en est de l'art aussi, de la littérature et cette chanson, qui m'a électrisé à l'époque, qui pourrait la chanter aujourd'hui ? Cette chanson ne pourrait pas se faire aujourd'hui. Qui la chanterait ? Personne. J'en prends le pari.
Et ce réchauffement climatique qui va se traduire par l'entrée dans une période glaciaire ? Y'a un moment que c'est déjà commencé. Brrr !!!
Bon, c'est pas tout, la citation du jour, elle est d'un gnostique ancien, de bien avant 68, d'un gnostique du temps de ma chérie Sappho de Mytilène, elle dit : "si amas veni", si tu aimes, viens...