Non que je veuille ôter la liberté
A qui est né pour être sur moi maître ;
Non que je veuille abuser de fierté
Qui à lui humble et à tous je devrais être ;
Non que je veuille à dextre et à senestre
Le gouverner et faire à mon plaisir :
Mais je voudrais pour nos deux coeurs repaître
Que son vouloir fût joint à mon désir.