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Chapitre VII :: La cabane au bord de l’océan

Publié le 11 novembre 2007 par Imperfectman
J’ai fais un rêve ! J’ai rêvé qu’une déesse ma rendu visite, ici là ou j’habite, sur terre, Dans ma cabane modeste au bord de l’océan, au milieu de nulle part, là ou même les hommes s’abstiennent de venir.
J’ai cru faire un rêve, j’ai cru qu’une déesse ma regardé avec ses yeux célestes, qu’elle ma pris la main et a murmuré à mon oreille des choses avec sa bouche divine, j’ai rêvé qu’une déesse s’est enfuie de son château de nuages blancs, pour venir me voir tard le soir,
C’est insensé…mais j’ai cru qu’elle aimé bien resté chez moi regarder les vagues agités de cet océan infini, s’éventrer sur les roches, qu’elle aimé écouté mes histoires de pêcheur,et j’ai songé qu’elle aimé bien le feu insuffisant de ma cheminé antique, et le goût ordinaire de mon pain froid.
Moi…je passé mon temps à la contempler, à apprécier ses gestes parfaits, à sentir son parfum enchanteur, et à l’aube, quand le temps venait pour elle de partir, je tenais mon cœur déchiré en essayant de ne pas de la retenir, car je savais bien que sa place n’était pas ici.
Je faisais ce rêve tous les soirs, en me disant que c’été peut-être pas juste un rêve, c’est dure pour moi de le savoir, car j’ai toujours eu l’impression que mes rêves sont plus vrais que la réalité. Aux bouts des jours, je me suis habitué à mon invitée nocturne, j’ai commencé à m’attacher à mon rêve impossible, et j’ai…aimé
Une nuit d’automne, alors que je l’attendais, ma déesse n’est pas venue, je l’ai attendu toute la nuit, et les nuits qui suivais, jour après jour j’ai commencé à penser que c’été juste un rêve, et j’ai perdu le goût du sommeil.
Les nuits sont longues, et je n’ai pas appris à me passer d’elle, j’essaye de protéger mon cœur fragile du froid qui gagne la cabane soir après soir, je vois les étoiles qu’on a compté tout au longue des nuits disparaître de mon ciel, jusqu'à ce que j’arrive plus à me souvenir de leurs contours, assis sur mes genoux, regardant le ciel en me disant
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas, et j’ai pensé que tu le sais déjà
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas…et j’ai pensé que je dois laisser tomber
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas, et j’ai cru que tu le savais déjà
Tu es une déesse, et moi je ne le suis pas…et j’ai pensé que je dois te laisser partir
Assis sur ma chaise de bois, espérant un regard de toi, car on ma dis que les dieux observais les hommes par au dessus de leurs nuages, alors je guette tous les soirs…une simple attention de toi, j’attend tous les jours le moindre écho venu du ciel
On ma dis que les dieux ne peuvent pas tombé amoureux des mortels, on ma dis que les dieux n’avais pas de temps à consacrer aux hommes…pourtant, je ne peut empêcher mon cœur d’espérer, je ne peut empêcher mon cœur d’aimer, même si tu me vois pas, même si mon amour est insignifiant… je t’aime ! Je t’aime avec tout ce que mon pauvre cœur de mortel peut aimer, je t’aime même si je suis invisible, je t’aime même si tu habit le cieux, et moi la terre, je t’aime même si je suis une chose insignifiante et infime dans ton monde, je t’aime même si tu est éternelle et moi éphémère, je t’aime même si tu est une déesse…et moi juste un mortel.

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