Aux confins de notre univers, il y a la galaxie
Mais à ceux de l’homme se trouve la folie.
Comme un poison lent qui prospère,
Sa haine grandit jusqu’à la guerre.
Quand les rires d’enfants s’apaisent,
Et que les vieux vivent un malaise,
Des “courageux” dansent avec un canon,
Quand d’autres sont prostrés avec religion.
Les beaux printemps s’embrument,
L’esprit de vengeance parfume
A l’essence de soufre et désespoir,
Ils mourront, disent-ils, dans la gloire.
L’absurde est aux confins de l’ esprit,
Et quand la réflexion déserte à l’infini
Cette pensée qui nous mène à l’ action,
L’horreur et la mort se répandront.
De terribles tentations naîtront.
Viendra l’heure du suprême supplice.
Et quand, trop tard, ils se repentiront,
Les enfants auront rêvés au sacrifice...