A 7:01, j'ai ricané en regardant Yann Arthus-Bertand expliquer comme il était favorable à la décroissance, alors qu'il venait de faire
un film dont le hic n'était même pas qu'il soit financé par un grand groupe, mais qu'il soit fabriqué dans la logique du cinéma industriel : un film qui a recours aux procédés de l'industrie (le gaspillage de millions d"euros, d'hélicoptères et que sais-je..., la division rationnelle du travail, la soumission aux
idéaux...), sans chercher à les remettre en cause ou inventer autre chose, qui en fait même l'éloge,
pour nous expliquer que l'industrie, quand même, ce n'est pas bien... là où d'autres, Alain Cavalier par exemple, font du cinéma
décroissant sans en faire toute une histoire...
Voir par exemple à la 37e minute :