Le pays est aride, les lacs asséchés… L’inhumanité ordinaire règne dans un pays lié aux stress quotidiens. Le royaume est aux mains d’humanoïdes qui ont rationaliser au plus fin, l’avidité de
chacun : le moindre de leur projet, jusqu’au simple geste est rationnel, la moindre ressource est utilisée,
Le chevalier avance à contre courant. Il sait qu’il part en guerre. Son apprentissage se fait sur le tas, et pour ne pas succomber à la douleur et la confusion, il lui faut œuvrer sur lui-même,
avant ( et parfois en même temps ) d’aider le monde… Retrouver le don, la sincérité, la joie, la bonté… c’est une guerre contre la guerre de l’utilité. Retrouver le courage, le souffle de
l’indignation et l’enthousiasme du combat.
La chevalerie s’inspirent de figures, plus que de principes. Ainsi Perceval et le roi pêcheur. Cet exemple parle à l’humain d’aujourd’hui, parce que la voie du chevalier est un chemin ouvert à
tous ceux qui croit à la destinée humaine de grandir vers le divin, ou vers l’Homme.
Lancelot et la charette de l'infamie: ( quête de l'Amour courtois )