Oui, je sais, près de dix jours sans billet. Heureusement que je ne me suis pas fixée d’objectifs.Heureusement que je ne suis pas journaliste payée. D'ailleurs à ce sujet, j'aimerais bien qu'on invente un autre mot pour les blogues des "vrais" journalistes ou pour les nôtres. Je pourrais développer, mais un autre jour.
Vraiment pas constante. Pourquoi faudrait-il que je le sois? Je pourrais prétexter du travail qui m’appelle ailleurs que sur ce blogue, oui, sûrement, mais aussi, c’est que je fais de la restriction mentale. En effet, quelques sujets m’ont interpellée, m’ont fait réagir, j’aurais pu écrire court ou long, mais j’ai choisi de me taire. De passer outre. De garder mes ressentiments pour moi.
Pendant que je nage dans la piscine ou pendant que je marche dans le sentier de raquette, bien des mots virevoltent, bien des phrases se forment et puis, une fois rentrée, ceci et cela, de tout et de rien, brochure, dépliant, correction d'un manuscrit d'une amie, portfolio et site de l'artiste-de-nos-pinceaux à mettre à jour, préparation d'un voyage, lecture rapide de Goerges Lafontaine que je dois rendre à la bibliothèque.
Et puis, il est l'heure de se coucher.